Désirs de nymphes

Étudiante en biologie, Karine se rend au bord de la Méditerranée pour passer ses vacances d’été. Elle est hébergée par Didier et Judith Blanchard, un couple possédant une grande maison qui semble bien sous tous rapports. Mais dès son arrivée, la jeune fille s’aperçoit qu’il règne une ambiance très sensuelle chez ses hôtes. Cela ne lui déplaît pas. Plus encore, elle comprend qu’elle ne se trouve pas là par hasard. Elle est appelée à se rendre dans une forêt à l’écart du monde, où l’attendent d’intenses plaisirs, ainsi peut-être, que son destin.

Ce livre est le premier tome d’une trilogie.

Désirs de nymphes – Tome 1 | Erika Sauw

Format ePuB ou Amazon Kindle

87 pages (équivalent pdf)

Prix : Gratuit

Le premier tome de Désirs de nymphes est gratuit sur toutes les plateformes et en lecture libre sur ce site. Pour lire les extraits, cliquez sur les images.

 

Partie 1
Judith avait fait le geste inverse du mien, en retroussant sa jupe déjà très courte, et elle écartait les jambes comme pour s’offrir en spectacle à son mari. Et celui-ci ne ratait jamais une occasion de jeter un coup d’œil sur elle. Il faut dire que ses cuisses étaient d’un galbe parfait et qu’elles étaient artistiquement hâlées.
Je ne sais pas pourquoi, mais je me demandais si elle portait une culotte. De la banquette arrière, il était impossible d’obtenir une réponse.

 

 

 

 

 

Partie 2

J’aurais pu et j’aurais dû me sauver, mais je restai pétrifiée devant la porte. Le spectacle était beau et extrêmement excitant. Je ne pouvais détacher mes yeux de cet homme au corps splendide et au pénis tendu à l’extrême, dont tous les détails m’apparaissaient, car je n’étais guère qu’à trois mètres de lui. Je contemplai les courbes de ses fesses, son torse musclé et les sacs de peau fripée qui enveloppaient ses volumineux testicules. Comme il était de profil, tout m’apparaissait avec la plus grande crudité. Il lui aurait suffi de tourner la tête à gauche pour s’apercevoir de ma présence, mais il était absorbé (dans tous les sens du mot !) par la fellation que Judith lui faisait. Elle ne se contentait plus de simples léchages mais faisait glisser ses lèvres le long de la tige, enfonçant le membre à une assez bonne profondeur dans son conduit buccal tout en caressant les bourses de son conjoint. J’étais étonnée de voir à quel point ses organes sexuels étaient développés, et c’était l’une des raisons de ma présence.

 

 

 

 

Partie 3
Cela dura à peu près cinq minutes. Après cela, Didier se redressa et planta son membre dans le con ainsi préparé, qui avait dû attendre cette intrusion avec une grande impatience. Il se livra à un pilonnage vigoureux, ses gros testicules butant contre les fesses de Sylviane. Celle-ci, complètement hors d’elle-même, réagissait en poussant des cris qui me vrillaient les oreilles. Au bout de quelques instants, elle exprima sa jouissance moins bruyamment, mais je vis son corps se cambrer et une grimace orgasmique apparaître sur son visage. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de Didier de pousser un rugissement. Il n’arrêta cependant pas de limer le vagin de Sylviane, si bien que ses mouvements en extirpèrent une substance laiteuse qui se répandit sur les lèvres et les cuisses de la jeune fille : il devait avoir éjecté une grande quantité de sperme.

 

 

 

 

 

Partie 4

J’avais commencé la fellation en faisant aller et venir ma main le long de la tige. Je m’étais immédiatement rendu compte que ce bel engin n’avait pas la même odeur qu’un pénis habituel, ni le même goût si je puis dire – je ne l’avais pas croqué bien que j’en eusse envie. L’avoir en bouche était un vrai plaisir, si bien que j’essayai de le faire entrer assez loin dans mon orifice buccal. Loin de s’en plaindre, Didier me prit par les cheveux et poussa de lui-même son membre, de manière lente mais autoritaire.

 

 

 

 

 

Partie 5

Il quitta la voiture avant moi, la contourna pour ouvrir ma portière, m’aida à sortir et me souleva dans ses bras. Ce que je pris comme un geste galant se révéla d’une tout autre signification : il me déposa sur le capot du véhicule, jambes écartées, et enfonça son sexe dans le mien avec la même brutalité que lors de notre pied coït. J’aurais pu ne pas apprécier cette absence totale de préliminaires, mais dès que son phallus commença à se frotter contre mon intimité, des vagues de plaisir me firent perdre tout moyen et je m’affalai sur les coudes. J’avançai mon bassin vers le sien pour être pénétrée plus profondément. Tout en émettant des grognements sauvages, il effectua un martelage bien plus intense que la première fois, permis par sa position : il était debout.

 

 

 

 

 

Partie 6

Je tournai immédiatement la tête et vis plusieurs nymphes assises au bord de l’eau, qui me regardaient en souriant. Je quittai alors le milieu de la rivière et montai sur la rive en marchant sur un fond tapissé d’algues.

Ces nymphes, comme il se doit, incarnaient la jeunesse et la beauté, et ne possédaient pas d’autres ornements que leurs corps. Je remarquai que leurs longs cheveux étaient aussi trempés que les miens. Elles formaient tout de même un groupe hétérogène, avec des couleurs de peaux différentes. Je supposai que c’était de naissance.

 

 

 

 

Partie 7

Pour le reste, leur comportement était conforme à ce que j’avais attendu. Elles se comportaient comme des gamines, sautillant et gambadant dans tous les sens, plongeant dans l’eau en poussant des cris et s’aspergeant. Je n’étais pas de caractère particulièrement réservé, mais à côté d’elles, je passais pour quelqu’un de grave. La vue de leur gaieté m’inspira d’ailleurs une pensée assez triste : que deviendraient ces filles si les êtres humains faisaient irruption dans leur monde ? Elles seraient sûrement refoulées dans des zoos ou forcées de se rhabiller, leur forêt serait rasée et des promoteurs immobiliers se disputeraient son sol. Je comprenais pourquoi la circulation entre les deux mondes était limitée. Peut-être la porte était-elle fermée à certaines époques, quand les satyres n’avaient pas besoin de « recruter » de nouvelles nymphes. Il faudrait que j’en parle à Didier.

 

 

 

 

Partie 8

Mon sexe, qui béait entre mes cuisses largement ouvertes, réclamait également l’attention de Bernard. Les secrétions qu’il émettait étaient des appels silencieux. Je profitai de la première occasion pour prendre à pleine main le pénis du satyre, tendu au-dessus de mon ventre et dur comme de la brique. Je le caressai en le tirant vers moi. Je soupesai également ses lourds testicules. Comme il apprécia mon intérêt pour ses organes sexuels, nous changeâmes de position et je me retrouvai derrière lui, sa paire de fesses emplissant mes yeux ravis. Je passai les mains entre ses cuisses pour continuer à le masturber, puis une envie me vint : lui lécher l’anus. C’était la curiosité autant que le désir qui m’y poussait. Un cul de satyre avait peut-être une odeur de jacinthe plutôt que d’autre chose.

 

 

 

 

Partie 9

Quand je me réveillai, il faisait jour et des rayons de soleil me tombaient sur le visage. Le voile de nuages de la veille étant parti, le ciel était d’un azur éblouissant, plus pur et plus profond que celui de ma planète. Je compris rapidement que quand il faisait aussi beau, il valait mieux rester dans la forêt ou dans l’eau. Bernard dormait pourtant toujours, son pénis dressé presque jusqu’à son nombril. Était-ce l’équivalent d’une érection matinale chez les hommes ? De toute façon, les satyres étaient presque tout le temps ainsi.